Załuski, Marcin
recordIdcnp01921320
urihttp://data.cerl.org/thesaurus/cnp01921320
genderb
biogrDataShort1700 - 1768
Dernière modification2024-02-08
generalNote
h. Junosza, 1698-1767, brat Andrzeja Stanisława Kostki i Józefa Andrzeja; studia we Włoszech; sekretarz wielki koronny i bp sufragan płocki (tytularny bp drasneński) 1732; losy biblioteki nieznane, część w BPW.
Polnischer Prälat und Staatsmann; Domdechant und Bischof zu Płock; 1732 Krongreßsekretär
moreinfo
biogrDataLong15.11.1700-11.07.1768
1700?-1768?
1698-1767
Graf (gnd)
Domdechant
Sekretarz królewski, biskup i sufragan płocki, współtwórca biblioteki Załuskich. Daty biograficzne wg katalogu członków Towarzystwa Jezusowego.
Personen zu Kirchengeschichte, Systematischer und Praktischer Theologie, Kirche und Konfession (3.6p) (sswd)
Bischof (gnd)
Politiker (gnd)
Prälat (gnd)
Schriftsteller (gnd)
Polen
PL (iso3166)
sources
foundInBiskup Marcin Załuski / Marianna Banacka. - Kobyłka, 2004. — Nachricht [...] / heraus gegeben von Johann Daniel Janozki. T. 3. - Breslau, 1753 (Adr. ded). — Mortzfeld, Peter: Katalog der graphischen Porträts in der Herzog-August-Bibliothek Wolfenbüttel, A 24687. — Mortzfeld, Peter: Katalog der graphischen Porträts in der Herzog-August-Bibliothek Wolfenbüttel, A 24687. — Wikipedia: https://pl.wikipedia.org/wiki/Marcin_Za%C5%82uski_(1700%E2%80%931765)
imprintSourceRéfutation dogmatique d'une résolution prétenduë théologique, toute tirée de principes faux et de raisonnemens captieux, capables de suborner les âmes simples, et pures, ou plutôt réplique en forme d'apologie d'illustrissime ... messire Martin Zaluski, ... à un libelle diffamatoire et digne du feu, rempli et regorgeant d'impostures et de calomnies des plus noires, tendantes à flétrir l'honneur et la réputation du susdit prélat, à rendre odieuses et suspectes à toute l'Europe toutes ses démarches et sa conduite si irréprochable, et dans lequel il est accusé, et glorieusement pour lui convaincu pour tout crime, d'avoir inviolablement gardé la foi qu'il avoit juré à Dieu, et la fidélité qu'il devoit à son légitime roi, le sérénissime Stanislas I, de s'être par un exil volontaire retiré hors de sa patrie, et de la cabale impie des méchans et des parjures, pour se rendre à Königsberg, le centre et le refuge de la véritable république, et où à l'abri de la persécution des rebelles et des conjurés, elle travaille sans relache hors de ses propres limites, à soulager ses frères oppriméz, à défendre leurs droits, et à recouvrer leur ancienne liberté, 1735