Algemene noot
Imprimeur-libraire ; imprimeur (-libraire) de la ville (ou : de l'hôtel de ville) (1739-1789) ; (libraire-imprimeur) de monseigneur le duc de Villeroy (ou : du gouvernement de Lyon) (1742-1790) ; de l'académie des beaux-arts [de Lyon] (1746) ; des hôpitaux généraux [de Lyon] (1748-1790) ; des arts et métiers (1757-1790) ; de monseigneur l'archevêque et du clergé (1764-1790) ; des collèges (1768-1790) ; de la Société d'agriculture (1769-1791) ; de la sénéchaussée et du siège présidial ; de monseigneur l'évêque de Belley (1787) ; de la municipalité (1789-1792) ; du département de Rhône-et-Loire (1790-1791). - Fils du libraire lyonnais Léonard de La Roche ; reçu maître en 1736. Fonde à partir de 1740 de nombreux périodiques : l'"Almanach de la ville de Lyon" (1740-1791), les "Affiches de Lyon" (1750, après avoir créé son propre bureau d'avis et d'adresses), "Le Glaneur", journal littéraire (1772-1774), le "Journal de Lyon" (1784) qui, en avril 1791, fusionne avec "Le Cour[r]ier de Lyon" (créé en sept. 1789) pour devenir le "Journal de Lyon et de Rhône-et-Loire", etc.. - Rachète en 1749 la librairie de sa mère, veuve de Léonard de La Roche, et le fonds de Pierre II Valfray, à qui il espère en vain succéder comme imprimeur du Roi ; à partir de 1766, gère le titre de Valfray sans en avoir la propriété. En 1784, à la mort de Pierre III Valfray, partage l'exercice d'imprimeur du Roi avec Jean-Marie II Bruyset. À Trévoux, imprimeur du Roi pour les Dombes en 1772. Dit âgé de 46 ans lors de l'enquête royale de 1764. - À partir de 1778, travaille en association avec son gendre Charles-François Millanois. Son petit-fils Aimé Vatar (-Delaroche) lui est associé dès nov. 1791-1792, avant de lui succéder pleinement vers le mois d'août 1793 et d'être tué le 4 sept. suivant en combattant l'armée de la Convention. C.-F. Millanois, beau-père et successeur de ce dernier et officier durant le siège, sera lui-même fusillé le 18 nov. 1793. Aimé de La Roche, qui s'est déjà retiré, doit se cacher
Variante(s) de prénom : Aymé. - Imprimeur-libraire ; imprimeur (-libraire) de la ville (ou : de l'hôtel de ville) [de Lyon] (1739-1789) ; (seul libraire-) imprimeur de monseigneur le duc de Villeroy (ou : du gouvernement de Lyon) (1742-1790) ; de l'académie des beaux-arts [de Lyon] (1746) ; des hôpitaux généraux [de Lyon] (1748-1790) ; des arts et métiers (1757-1790) ; de monseigneur l'archevêque et du clergé [de Lyon] (1764-1790) ; des collèges (1768-1790) ; de la Société d'agriculture (1769-1791) ; de la sénéchaussée et du siège présidial [de Lyon] ; de monseigneur l'évêque de Belley (1787) ; de la municipalité [de Lyon] (1789-1792) ; du département de Rhône-et-Loire (1790-1791). - Fils du libraire de Lyon Léonard de La Roche. Reçu maître en 1736. Fonde à partir de 1740 de nombreux périodiques : l'"Almanach de la ville de Lyon" (1740-1791), les "Affiches de Lyon" (1750, après avoir créé son propre bureau d'avis et d'adresses), "Le Glaneur", journal littéraire (1772-1774), le "Journal de Lyon" (1784) qui, en avril 1791, fusionne avec "Le Cour[r]ier de Lyon" (créé en sept. 1789) pour devenir le "Journal de Lyon et de Rhône-et-Loire", etc. Rachète en 1749 la librairie de sa mère, veuve de Léonard de La Roche, et le fonds de Pierre II Valfray, à qui il espère en vain succéder comme imprimeur du Roi ; à partir de 1766, gère le titre de Valfray sans en avoir la propriété. En 1784, à la mort de Pierre III Valfray, partage l'exercice d'imprimeur du Roi avec Jean-Marie II Bruyset. À Trévoux, imprimeur du Roi pour la Dombes en 1772. Dit âgé de 46 ans lors de l'enquête royale de 1764 et de 85 ans lors de son décès (Lyon, janv. 1801)
À partir de 1778, travaille en association avec son gendre Charles-François Millanois. Son petit-fils Aimé (-Marie) Vatar (-Delaroche) lui est associé dès nov. 1791-1792, avant de lui succéder pleinement vers le mois d'août 1793 et d'être tué le 4 sept. suivant en combattant l'armée de la Convention. C.-F. Millanois, beau-père et successeur de ce dernier et officier durant le siège, sera lui-même fusillé le 18 nov. 1793. Aimé de La Roche, qui s'est déjà retiré, doit se cacher
Variante(s) de prénom : Aymé. - Imprimeur-libraire ; imprimeur (-libraire) de la ville (ou : de l'hôtel de ville) [de Lyon] (1739-1789) ; (seul libraire-) imprimeur de monseigneur le duc de Villeroy (ou : du gouvernement de Lyon) (1742-1790) ; de l'académie des beaux-arts [de Lyon] (1746) ; des hôpitaux généraux [de Lyon] (1748-1790) ; des arts et métiers (1757-1790) ; de monseigneur l'archevêque et du clergé [de Lyon] (1764-1790) ; des collèges (1768-1790) ; de la Société d'agriculture (1769-1791) ; de la sénéchaussée et du siège présidial [de Lyon] ; de monseigneur l'évêque de Belley (1787) ; de la municipalité [de Lyon] (1789-1792) ; du département de Rhône-et-Loire (1790-1791). - Fils du libraire de Lyon Léonard de La Roche. Reçu maître en 1736. Fonde à partir de 1740 de nombreux périodiques : l'"Almanach de la ville de Lyon" (1740-1791), les "Affiches de Lyon" (1750, après avoir créé son propre bureau d'avis et d'adresses), "Le Glaneur", journal littéraire (1772-1774), le "Journal de Lyon" (1784) qui, en avril 1791, fusionne avec "Le Cour[r]ier de Lyon" (créé en sept. 1789) pour devenir le "Journal de Lyon et de Rhône-et-Loire", etc. Rachète en 1749 la librairie de sa mère, veuve de Léonard de La Roche, et le fonds de Pierre II Valfray, à qui il espère en vain succéder comme imprimeur du Roi ; à partir de 1766, gère le titre de Valfray sans en avoir la propriété. Publie en 1757 sous la fausse adresse "A Marnioule, chez Martin Frettagolet" le "Supplement aux Lyonnois dignes de memoire". En 1784, à la mort de Pierre III Valfray, partage l'exercice d'imprimeur du Roi avec Jean-Marie II Bruyset. À Trévoux, imprimeur du Roi pour la Dombes en 1772. Dit âgé de 46 ans lors de l'enquête royale de 1764 et de 85 ans lors de son décès (Lyon, janv. 1801)