0RL 00000nz 22000003 45 001 cni00095345 100 $a20190408xmuly50 ba 110 $a0 120 $ab 210 1$aFabri$bJean$rimprimeur et fondeur de caractères$cFR$5BNF 290 $aDeschamps 290 $aFumagalli 290 $aBiogr. Italie 290 $aBorsa 300 1$8fre$aAutre(s) graphie(s) : Fabbri ; Faber ; Favre ; Lefebure ; Le Fèvre ; Lefebvre. - Se dit natif de Langres ("Lingonensis"), français ("Gallicus"), maître ("magister") et artisan ("artifex"). Fils d'un dénommé Clément. Travaille d'abord dans le Piémont, où il a été appelé par Pantaleone de Confienza, médecin de la cour de Savoie. Attesté en activité de 1474 à 1482 à Turin, à Caselle Torinese (et non pas Casal(e) ou Ca(s)sole, comme on a pu l'écrire par erreur) et probablement à Saluces, par les impressions à son nom, dont la première, un bréviaire romain de 1474, est réalisée en association avec l'imprimeur français Jean de Pierre (Johanninus de Petro). En relation avec l'imprimeur Nicolas Jenson, originaire de Sommevoire, près de Langres, et établi à Venise, de qui il aurait peut-être été l'élève ou le "facteur", et qui, dans son testament du 7 sept. 1480, diminue de moitié une créance de 110 ducats d'or qu'il détenait sur Jean Fabri. Imite une des fontes romaines de N. Jenson dans une dizaine d'impressions, et son édition du "De officiis" de Cicéron de 1481 aurait été partagée avec Jenson. Emploie notamment en 1476 Guillaume Barbin, breton, en qualité de compositeur. À partir de 1485, ses caractères sont utilisés par l'imprimeur Francesco Silva, originaire de Milan et fixé à Turin. On a présumé qu'il était parti travailler à Toulouse, puis à Lyon et à Genève, voire à Stockholm, où apparaissent alors des imprimeurs homonymes, mais ces suppositions se sont avérées injustifiées. Ainsi une référence rapportée par Gabriel Naudé le confond avec Johannes Siber, associé à Martin Husz à Lyon en 1478 (cf. N. Rondot, "Les Graveurs sur bois et les imprimeurs à Lyon au XVe siècle", Paris-Lyon, 1896, p. 145), et la mention d'un "Jean Fabri, natif de la ville de Langres", placée au colophon d'une édition toulousaine du "Décret" de Gratien de 1490, se rapporte en réalité à l'auteur de l'ouvrage, le jurisconsulte Roncin (Runcinus) dit Jean Fabri, lui aussi natif de Langres (cf. A. Claudin, "Archives du bibliophile", 43e année, n° 361, juin-juillet 1903, p. 427, n° 16587). Serait à distinguer aussi de l'imprimeur homonyme d'origine allemande Jean Fabri ou Faure, dit Fa(r)fant, en activité à Lyon dans les années 1480-1500, et de l'imprimeur homonyme attesté à Stockholm en 1495-1496, qui signe ses éditions en langue vulgaire "Johann Smedh". Cependant, sur la foi d'une tradition bibliographique remontant à l'historien local J.-B. Charlet (1655-1720), et en raison des caractères employés, on lui attribue un recueil de statuts synodaux du diocèse de Langres, postérieur au 20 avril 1491, qu'il aurait imprimé soit à Turin, où il serait resté jusqu'à cette date, soit à Langres, où il serait revenu 340 01$8fre$a14..-149.? 340 11$8fre$a1474-1491?$xa1474a1491 350 1$0acti$8fre$aType de document concerné: Texte imprimé 350 1$0irsp$8fre$aAuteur 350 1$0prof$8fre$aImprimeur-libraire 356 1$0nati$8eng$aFrance 410 01$aFabri$bJohannes$rimprimeur et fondeur de caractères$8eng$nLatin$0varn 410 01$aFabri Lingonensis$bJohannes$rimprimeur et fondeur de caractères$8eng$nLatin$0varn 410 01$aFabri alias Clementis$bJohannes$rimprimeur et fondeur de caractères$8eng$nLatin$0varn 500 1$0ex:hasRelatedEntity$aFabri$bJean$rimprimeur et fondeur de caractères$8eng$nPersonal name record$3cnp02234463 515 1$0actv$aCaselle Torinese$z1475-1477$3cnl00003557 515 1$0actv$aLangres$z1491$3cnl00010962 515 1$0actv$aSaluzzo$z1479$3cnl00013608 515 1$0actv$aTorino$z1474$3cnl00013610 515 1$0actv$aTorino$z1477-1491?$3cnl00013610 801 $aFR$bBNF$c20181025$nFRBNF171359202$gAFNOR Z 44-061 831 1$acni00046450$b2 831 1$acni00050024$b1 831 1$acni00068883$b1 831 1$acni00076771$b1 831 1$acni00089946$b2 831 1$acni00094015$b2 956 9$0orig$nPARB$yhttp://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb171359207$8eng$zAuthority record 998 $a20190408$b12:00:00 999 $a20200527$b12:00:00