0RL 00000nz 22000003 45 001 cni00065271 100 $a20160811xmuly50 ba 110 $a0 120 $ab 210 1$aMarat$bJean-Paul$cFR$5BNF 290 $aHoefer : date de naissance erronée 24 mai 1744 290 $aHatin 290 $aTourneux 290 $aMartin, Walter 290 $aGDEL 290 $aFortuny 290 $aArbour, Femmes, 1470-1870 : mentionne à tort la "veuve Marat" en 1792 300 1$8fre$aSource(s) consultée(s) en vain: Delalain, Paris, 1789-1813 300 1$8fre$aMédecin, homme politique, journaliste et imprimeur. - Né à Boudry (canton de Neuchâtel, Suisse). Fils de Jean (-Baptiste) Mara, Genevois originaire de Sardaigne, ancien capucin converti au calvinisme. Se forme à la médecine à Paris puis séjourne jusqu'en 1772 en Angleterre où il publie plusieurs essais ; reçu docteur en médecine de l'université Saint Andrews (Écosse) en juin 1775. Se fixe ensuite à Paris où il est de 1777 à 1784 médecin des gardes du corps du comte d'Artois. Publie alors plusieurs traités de sciences physiques (électricité, feu, lumière, optique...). Devenu publiciste dès les débuts de la Révolution, il fait paraître de nombreux pamphlets politiques et lance notamment le 12 sept. 1789 le journal "L'Ami du peuple" (paru d'abord sous le titre "Le Publiciste parisien" et imprimé en premier lieu par la veuve Hérissant), qu'il rédige entièrement, pour lequel il monte une imprimerie équipée d'abord de deux presses (en association avec les libraires Dufour l'aîné, Raymond Sentiès jeune et François Buisson) ; "L'Ami du peuple" prendra fin le lendemain de sa mort (14 juillet 1793), après plusieurs interruptions (notamment en 1790 et entre déc. 1791 et avril 1792) et saisies. Jean-Paul Marat déclare en déc. 1789 avoir remis en vain le 4 nov. précédent, à 10 imprimeurs, sa "Dénonciation faite au tribunal du public... contre M. Necker" ; aucun n'ayant "osé la mettre sous presse [...] il a fallu que je me fisse imprimeur". Entre le 22 janv. et le 18 mai 1790, Marat échappe à une arrestation et se réfugie en Angleterre. À la suite de la journée du 17 juillet 1791, ses presses sont brisées et lui-même doit à nouveau se cacher. Le 23 août 1792, il se voit attribuer pour ses publications quatre presses provenant de l'ancienne Imprimerie royale. Élu député à la Convention le 9 sept. 1792. Décrété d'arrestation par la Convention girondine le 13 avril 1793, il est acquitté dès le 24 avril. Malade, il ne siège plus à la Convention à partir du début juin 1793. Assassiné le 13 juillet 1793 à Paris, à son domicile, par Marie-Anne-Charlotte de Corday d'Armont. Sa compagne Simonne Évrard conserve après sa mort le matériel d'imprimerie et le droit d'imprimer sous la raison "Veuve Marat" avant d'être obligée de restituer les quatre presses à l'État le 6 mars 1795. Les restes de Marat sont accueillis au Panthéon le 21 sept. 1794 puis en sont retirés le 8 fév. 1795 340 01$8eng$a24.05.1743-13.07.1793$xa1743a1793 340 01$8fre$a1743-1793$xa1743a1793 340 11$8fre$a1789-1793$xa1789a1793 350 1$0prof$8fre$aImprimeur-libraire 350 1$0irsp$8fre$aAuteur 350 1$0acti$8fre$aType de document concerné: Texte imprimé 356 1$0nati$8eng$aFrance 410 11$aAmateur avec$bM. L'$8fre$nPseudonyme$0pseu 410 11$aAmi du peuple$bL'$8fre$nPseudonyme$0pseu 410 01$aMara$bJean-Paul$0varn 410 01$aMarat$0varn 500 1$0ex:hasRelatedEntity$aMarat$bJean-Paul$8eng$nPersonal name record$3cnp00395741 515 1$0actv$aParis$dRue de l'Ancienne-Comédie, n° 39 [déc. 1789 - janv. 1790]. - Rue des Cordeliers (, vis-à-vis celle Hautefeuille) [1793]$z1789-1793$3cnl00032963 801 $aFR$bBNF$c20200106$nFRBNF119143643 830 $aProvenance information available in the Catalogue général de la BnF - http://catalogue.bnf.fr/ 956 8$0same$nWDAT$yhttp://www.wikidata.org/entity/Q122290$8eng$zWikidata description set 956 9$0orig$nPARB$yhttp://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb119143643$8eng$zAuthority record 998 $a20160811$b12:00:00 999 $a20190408$b12:00:00 999 $a20190503$b12:00:00 999 $a20200511$b12:00:00 999 $a20200527$b12:00:00 999 $a20240208$b12:00:00