Abbaye Notre-Dame de Fervaques
Identifiant de la noticecnc00017152
URIhttp://data.cerl.org/thesaurus/cnc00017152
Données biographiques1140 - 1790
Dernière modification2020-05-27
Note générale
Abbaye de Cisterciennes fondée en 1140 par Rainier de Fonsomme, sénéchal de Vermandois et sa femme Elisabeth, au nord du village de Fonsomme. L'abbaye porta d'abord ce nom, puis devint Fervaques (=eaux bouillonnantes) car on trouvait des sources abondantes aux alentours. Dès 1148 le pape Eugène III prit l'abbaye sous sa protection et confirma tous ses biens. L'abbaye connut une grande prospérité ; il fallut bientôt limiter le nombre de ses religieuses
Mais à partir du XIVe siècle elle ne connut plus que démolitions et reconstructions à la suite de guerres successives avec les anglais, bourguignons, espagnols. Démolitions en 1359, 1577, 1580. Les religieuses se réfugièrent à Saint-Quentin de 1628 à 1631, puis à Paris de 1635 à 1643. En 1648 elles s'installèrent à Saint- Quentin jusqu'à la Révolution. - A Saint-Quentin, l'abbaye fut occupée par le Palais de Justice, avant de disparaître. A Fonsomme, quelques bâtiments conventuels servent encore de ferme
Matière nom commun associée: Abbayes -- France -- Aisne (France)
Plus d'information
Autres données biographiques1140-1790
Responsabilité intellectuelleAuteur
Langue(s) principale(s)French
Situé / Située àFrance
Noms
RubriqueAbbaye Notre-Dame de Fervaques
utilisé dans: Bibliothèque nationale de France, Paris
VarianteAbbaye Notre-Dame de Fervaques, Bernardine
Abbaye Notre-Dame de Fervaques, Cistercians nuns
Abbaye Notre-Dame de Fervaques, monache Cistercensi
Abbaye Notre-Dame de Fervaques, Fonsomme, Aisne
Abbaye Notre-Dame de Fervaques, Saint-Quentin, Aisne
Abbaye de Cisterciennes, Fonsomme, Aisne ; Notre-Dame de Fervaques, 1140-1628
Abbaye de Cisterciennes, Saint-Quentin, Aisne ; Notre-Dame de Fervaques, 1648-1790
Abbaye de Fervaques, Fonsomme, Aisne
Abbaye de Fervaques, Saint-Quentin, Aisne
Abbaye de Fonsomme
Sources
Trouvé dansCORELI, CNPL. — DHGE, t. 16, col. 1309-1312. — COTTINEAU, t. 1, col. 1135